La dernière fois que les dirigeants mondiaux se sont réunis pour un sommet sur le climat, la toile de fond était tout à fait menaçante. Une pandémie a décimé les budgets nationaux. Les pays pauvres se sont révoltés contre la thésaurisation des vaccins COVID-19 par les mêmes pays riches dont la consommation de combustibles fossiles a le plus contribué au réchauffement de la planète. Les relations entre les deux plus grands émetteurs, les États-Unis et la Chine, s’étaient transformées en escarmouches à somme nulle sur tout, du commerce à Taiwan.
C’était le bon vieux temps.
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